Ter voorbereiding van de Internationale Vrouwendag volgende week: tweede deel van het gedicht Elégie Africaine van J. Slauerhoff uit zijn bundel Fleurs de Marécage.
Il médite amèrement: "C'est mon idylle.
En Europe, à présent, il fait dimanche partout,
A Brest, à Bordeaux, dans tout les ports,
Les rues sont pleines d'un doux soleil et vides de trafic,
Les charrettes bruyantes n'y roulent pas,
Dans les églises les choeurs chantent,
Même dehors on entend le chant consolateur.
Ce soir le matelot ivre-mort
Dance avec la fille jusqu'à ce qu'il tombe dans le coin.
Mais j'ai un tête-a-tête avec mon verre de toddy,
Lassitude de six années de tropiques dans mon corps.
Depuis une semaine les étreintes de ma négresse me répugnent;
Elle doit satisfaire mon amour, mon appétit,
Et une nuit elle m'étranglera.
-Quel plat nouveau pour son frère, le chef de tribu!-
Elle l'a promis, quand je l'ai achetée,
En criant un mot que j'ai oublié,
Mais qui m'obsède dans mes nuits de fièvre."
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